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 ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%]

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▬ DON : Be quiet ▬ Permet d'étouffer tous les sons environnants pour faire régner un silence total, ou d'étouffer une partie des sons pour en mettre un en évidence. Pratique pour faire taire quelqu'un.
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Kilian Vantas

Kilian Vantas

MessageSujet: ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%]   ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%] Icon_minitimeLun 28 Oct - 22:58




do or die.
Kilian VANTAS.
18 ans.
Canadien.
23/07/95.
groupe. (attendre le passage d'un modérateur pour remplir ceci.)
Be quiet ▬ Permet d'étouffer tous les sons environnants pour faire régner un silence total, ou d'étouffer une partie des sons pour en mettre un en évidence. Pratique pour faire taire quelqu'un.

Physique

TAILLE : 174 cm.
POIDS : 62 kg.
TEINT : Clair et parfait.
CHEVELURE : Brun rougeâtre.
YEUX : Vert clair.
AUTRES DÉTAILS DU VISAGE : /
SIGNES DISTINCTIFS : /
AUTRE : Canines pointues, cicatrice à la nuque avec deux piercings sur celle-ci, tatouage " I need a doctor to bring me back to live. " sur son flanc et " ≠ " sur le poignet, fait gratuitement à ses 17 ans par un tatoueur débutant.

Caractère

QUALITÉS : /!\ La plupart des qualités sont à découvrir au fil du temps avec le personnage! Aimable, adorable, gentil, attentionné, protecteur, aidant, charmant, confiant, créatif, débrouillard, discret, fidèle, franc, généreux, honnête, indépendant, modeste, raisonnable, souple, sensible, vrai.
DÉFAUTS : Sarcastique, silencieux, antisocial, désagréable, défaitiste, pessimisme, solitaire, dépressif, flemmard, découragé, gourmand, sadique, arrogant, blasé, désobéissant, maladroit, peureux, sensible, susceptible, râleur.
AIME/DÉTESTE : Aime les sucreries, les gaufres, la chaleur, rester chez soi, les boissons gazeuses, les séries, la chaleur humaine, les serpents, les araignées, son lit, dessiner, les bananes, les kiwis, les pâtes à la sauce tomate, les religieuses et les éclairs au chocolat/café, les fraises, la pluie, la musique douce, le rap conscient américain, le rock, le métal, dormir à la belle étoile, fumer, les chatons, les lapins.
Déteste les requins, les personnes populaires, sa famille biologique et adoptive, cauchemarder, les plats salés, les films d'horreur, l'amour, l'amitié, dormir seul, son piercing et sa cicatrice à la nuque, faire confiance, les poires, le froid, l'hiver, l'école, la foule, le bruit inutile, l'alcool.  

RÊVE(S) : Aucun.
PEUR(S) : La peur des requins, la peur d'être aimé pour être abandonné à nouveau.
AUTRE : A tendance à envoyer tout le monde se faire foutre.


votre inventaire.

▬ Un briquet.
▬ Un paquet de cigarettes à moitié vide.
▬ Un trousseau de clefs.
▬ Des morceaux de feuilles quadrillées ou non avec quelques mots et dessins.
▬ Téléphone tactile.
▬ Un porte carte.
▬ Des écouteurs.



que faites-vous ici?


Que faisiez-vous le jour où vous avez reçu votre première lettre ? Quelle a été votre réaction ?
Qu'est-ce que tu faisais le jour où tu as reçu cette première lettre ? Rien de spécial à part te mépriser, te plaindre de ton malheur et ta solitude et déprimé dans ton appartement à moitié aménagé.
Tu étais resté donc à dans ton salon vide de meubles et de vie mis à part cette télé allumée dont le son était coupé. Assis en tailleur au milieu de ta piaule, ton téléphone dans ta main droite et ta cigarette grillée disposée entre ton majeur et ton index de ta main gauche. Tu entendais tous les propriétaires sortirent de chez eux pour aller chercher le courrier déposé depuis peu par le facteur de la ville. Tes yeux verts fixaient la télé et tes oreilles attendaient d'entendre les voisins regagner leurs domiciles pour pouvoir aller chercher ton courrier à toi. Tu écrasas alors ta cigarette dans ton cendrier, tu te dépêchas d'aller prendre ton courrier dans le hall de l'appartement. Vêtu de ton jogging gris, ton haut large d'anarchie. Facture, facture, facture, facture et... une lettre plutôt soignée en tout cas pour ce qu'on fait de nos jours en question de lettre en simple papier recyclable. Tu remontais chez toi en regardant ton relever de compte, on ne comptait même plus le nombre de soupirs que tu pouvais laisser échapper en une minute.
Une fois revenu au point de départ, les jambes en tailleurs sur le sol glacé de ton salon, la lumière éteinte, la pièce était éclairée par les quelques rayons de soleil qui jaillissaient ici et là des volets clos. Tu ouvris la lettre avec curiosité, dépliant le papier, tu n'attendis pas pour te mettre à lire ce bout de papier. Au fil de ta lecture, ton sourcil se arqua. Tu étais surpris du contenu, tu n'y comprenais rien et à vrai dire tu ne cherchais pas à comprendre. La lumière, l'objet de cette lettre, l'aspect. Ouais tout ça, ça te surprenait pas plus que ça. En vrai tu te demandais si t'avais juste pas trop forcer sur ce que tu avais pris hier soir...  Puis de nos jours, tout est possible. Alors deux trois mots qui s'illuminent, aller... Un jeu d'optique ? C'est ce que tu essayais de te mettre dans la tête.

Pourquoi être allé jusqu'à la barque Aer n°186 ?
Pourquoi ? Mais pourquoi t'étais-tu embarqué là dedans ? Et c'est le moindre qu'on puisse dire " s'embarquer " ! Tu y croyais à cette histoire sans vraiment y croire, tu ne croyais plus en grand chose, non en réalité, tu ne croyais en plus rien pas même toi mon pauvre Kilian. Tu te disais juste que pourquoi pas après tout, ça ne va pas te tuer, juste un long voyage pour aller au port Greenport... Comme son nom en lui même l'indique en faite. Tu pensais pouvoir faire quelque chose d'autre que de rester dans ton appartement à pleurer ton désespoir stupide. Car oui tu étais stupide et tu le savais déjà, mais je te le répète, tu étais et tu es stupide Kilian. Puis si c'était une farce ? Tant pis, ça te fera prendre l'air. Et si c'était un coup monté pour juste te défoncer la gueule sévèrement ? Tu n'en avais rien à foutre, car de toute façon en vrai ça t'arrangerais qu'on défigure ton adorable figure et qu'on te laisse crever sur le béton encore mouillée de la dernière averse. Tu n'avais juste plus rien à perdre, alors, pourquoi pas ?

Quant à votre passé, y'a-t-il quelque chose que nous devrions savoir ?
“ Je ne veux pas de cet enfant, maman. ”, “ Je veux un enfant, mon chéri. ” Deux vies différentes, deux familles différentes, deux objectifs différents, deux destins différents, deux histoires différentes et un enfant pas si différent. D'un côté, dans une simple ville du Canada, un jeune couple de lycéens inconscients. Amoureux, naïfs, heureux et rebelles. Une fille aux longs cheveux colorés en blond, de beaux yeux verts au caractère extravagant et un garçon aux cheveux brun clair avec une paire de noisettes, du genre turbulent sans une pointe de maturité. Un regard, un sourire, en un jour,  pour que leurs cœurs se mettent à battre la chamade pour l'amour qu'ils allaient se partager. Un touché et un souffle chaud sur leurs peaux, en une soirée, pour que leurs corps brulants se prennent d'un frisson de passion et de folie pour une nuit longue. De l'autre côté, dans la capital du Canada, un couple responsable et sérieux, deux personnes aimantes et s'aimant, deux adultes à l'incapacité de pouvoir construire une famille comme tout le monde. Impossible, c'était impossible pour la femme aux cheveux châtain clair, c'était impossible pour elle de pouvoir porter un bébé en elle. L'adoption était la dernière solution à leur malheur, cet enfant, celui ci... était leur futur rayon de soleil. La famille qui l'abandonnait l'avait nommé Kilian et tu l'as bien compris maintenant, c'est de toi qu'on parle. Mais neuf mois plus tôt, avant que tu ne viennes au monde, c'était une adolescente effondrée qui se tenant le ventre dans sa salle de bain, un test de grossesse dans la main qui lui annonçait être positif, mais rien n'était positif pour elle. Rien ne l'était, tu n'avais pas lieu de naître! Elle pensait avoir perdu toute possibilité de vivre comme avant, de pouvoir passer des soirées sans limites, sortir avec ses amis, d'être vu différemment dans la rue en tenant la main de son enfant... La peur, la peur d'être responsable la prit sans attendre. La fausse blonde était seule, il lui fallut quelques secondes pour qu'elle se retrouve seule,  le garçon qu'elle pensait être l'homme de sa vie l'avait déjà plaqué après avoir été mis au courant, ne voulant avoir aucune responsabilité avec le nouveau né que tu allais être, il ne voulait rien voir et rien savoir. Oh oui, de la haine et rien que de la haine dans le cœur de la canadienne enceinte. Elle détestait ce qu'elle avait dans le ventre, tu l'écœurais, n'était-ce pas ta faute qu'elle venait de perdre son petit ami ? Si et c'était assez pour te haïr, toi qui étais son propre futur enfant. Mais trop tard, il était trop tard pour avorter. Ses parents, qui étaient divorcés, apprenant la nouvelle beaucoup trop tard pour l'amener au médecin. Elle dût juste souffrir, subir pendant neuf mois l'idée d'être enceinte. Combien de fois avait-elle tenté de planter un couteau dans son ventre ? Tellement qu'on en perdrait le fil.

Alors qu'elle accouchait de toi, petit brun que tu es, elle ne posa pas un regard, pas un seul coup d’œil sur toi, elle était prête à te donner à n'importe qui, elle ne te voulait pas, elle ne voulait pas t'étreindre contre elle, elle voulait t'oublier à tout jamais.
C'est alors que ce couple de la capitale était ta porte de secours, sans aucune convocation entre les deux familles, les papiers étaient signés et tu pris le nom du couple marié : Kilian Vantas.  Cet enfant avait reçu l'amour d'étrangers au lieu de celui de sa mère ou de son père.
C'est alors que tu vécus avec ces deux étrangers, tu n'avais rien d'eux, leurs caractères étaient différents du tien, leurs sangs étaient différents, leurs physiques aussi. Ta mère adoptive avait des cheveux châtain clair avec de petits yeux bleu foncé, ton père adoptif aux cheveux courts et bruns, des yeux plutôt gris mais pleins de vie. Tout deux, avait une jolie peau claire. Toi ? Tu avais des cheveux brun tournant au rouge, les cheveux en bataille, des mèches rebelles de partout et des grands yeux verts...  Ta peau était blanche, voir pâle. Pourtant, ça ne t'empêchais pas d'être aimé et aimer en retour ceux qui t'avaient adoptés. Tu les aimais, de tout ton petit cœur. Tu souriais à tout, riais à tout, pleurais à tout, rougissais à tout et apeurais à tout! Malheureusement... Rien ne dura. A tes dix ans, les mots vexants et horribles de tes camarades de classe, qui étaient de loin tes amis, résonnaient dans ta tête tous les soirs avant de dormir, les commentaires indiscrets de tes professeurs avec les parents d'élèves aussi... Il t'en as fallu du temps avant de comprendre, que oui, tu étais beaucoup trop différent des bras qui t'avaient bercés avec amour, tu l'avais compris... Que tu avais été abandonné, abandonné depuis ta naissance alors que tu n'avais rien demandé. Plus rien ne traversait ton visage, pendant trois ans, tu étais muet et solitaire après cette révélation, tes parents adoptifs te racontaient qu'ils t'aimaient malgré qu'ils ne soient pas du même sang, que tu étais leur fils malgré tout. Et que si tu le voulais, tu pouvais rendre visite à ta vraie mère... Mais c'était beaucoup trop beau pour toi, tu avais trop espéré, ta mère ne voulait pas te voir, elle avait hurler ne pas voir ton horrible visage. Comment voulez-vous vous remettre d'un tel choc à seulement treize ans ? Comment ? Tu avais entendu la voix de ta mère te rejeter alors que toi, tu voulais juste te jeter dans ses bras. Être aimé comme les autres enfants, par leurs mères biologiques, toi tu en étais privé, qu'avais-tu fait pour mériter ça ? Tu n'as jamais eu de réponse à cette question, tu te contentas de penser être une erreur. Ses parents adoptifs étaient eux même perdus, ne sachant plus quoi faire pour retrouver leur adorable Kilian, celui qui avait un sourire à chaque fois qu'il voyait un chat passer, qui pleurait en voyant un ver de terre mourir.
A tes quatorze ans, l'adolescent que tu étais, perd les pédales et dans un moment de solitude et de désespoir, tu t'ouvris profondément l'arrière de ta nuque à l'aide d'un couteau suisse, tu ne voulais pas mourir à ce moment là, tu voulais... tu voulais te punir d'être venu au monde. Tu ne pouvais pas vivre heureux car ça ne devait pas être ta destiné, ça ne devait pas... C'est ce que tu te disais, tu disais ça... Ta mère t'aurait surement voulu mort plutôt que vivant, alors la punition pour l'avoir déçu était... était quasiment normal. Mais tu t'en voulus tellement, tu t'en voulus vite d'avoir commis cet acte lâche... Qu'allait devenir ce couple qui t'avais tant aimé, logé et nourrit ? Tu ne devais pas les abandonner, tu ne voulais pas faire pareil. Partir sans même poser un regard, sans dire un je t'aime. Tu pris la sage décision d'accourir en sang voir ta mère adoptif et... il te fallut un mois pour avoir une cicatrisation parfaite. La cicatrice était bien présente et voyante, alors seul, à tes risques et  périls, tu te posas deux piercings aux deux extrémités de ta longue cicatrice.

L'amour et l'amitié ? Ouais, vous savez, ce truc que les adolescents aiment ressentir, vivre, connaître. Toi tu n'y prêtes pas attention et de toute manière ça ne t'attires pas plus que ça, à quoi bon se rendre heureux et croire être aimer pour au final se rendre compte qu'on est rien aux yeux de ces personnes et finir par tomber de haut... Mais l'amour ne prévient pas et on ne le trouve pas, c'est lui qui vous trouve et vous tombe dessus. Tu avais dix huit ans, tu venais de rentrer en terminal au lycée, tu te retrouves seul dans ta classe tout en connaissant ces élèves que tu aimes appeler "petits cons", mais cette fois-ci tu connaîtras l'amour. Ton voisin de table, un gars qui n'avait pas l'air d'avoir confiance en soi, les moqueries et les regards qu'on lui lançait te rendaient fou. Tu fis l'effort de te rapprocher de lui et de le prendre sous ton aile, trois mois après, vous sortiez ensemble et c'était parfait. Le bonheur à l'état pur.
Mais ce fut vite le drame... Alors que vous passiez un moment de passion et d'excitation - et je n'irai pas dans les détails - dans ta chambre en désordre, ce fut la surprise pour ta mère, elle rentra sans même frapper. Massacre pour ses yeux, elle venait de voir son adorable fils en train de copuler. Aucun doute et plus aucun secret entre elle et toi, elle savait désormais que toi, son fils adopté, tu n'étais pas ce qu'elle aurait voulu, elle te voyait avoir des enfants et une magnifique femme... Mais en une fraction de seconde, tu avais complètement brisé ses espoirs. Elle était désemparée et toi aussi, car seulement après deux jours, tes parents adoptifs n'ont eu comme seul solution, te mettre à la porte et ne plus jamais te revoir. Tes parents étaient vieux jeu, jamais leur enfant aurait pu être homosexuel.
Maintenant, il ne restait plus que ton petit ami au mohawk. Tu décidas de tout plaquer pour lui, tu quittas le lycée pour pouvoir te trouver deux boulots. Deux boulots qui te permettaient de louer un appartement au loyer respectable pour vivre avec ton petit ami.

Alors que vous étiez installés, un drame se produit de nouveau... Comme si il n'y en avait jamais assez. Ton petit copain t'avoua librement et sincèrement qu'il t'avait trompé avec un de ses camarades de classe, il avait vraiment l'air triste et craintif à l'idée de te perdre mais tu étais dégoûté que tu le viras voir ailleurs, énervé, encore plus déprimé et détruit. Tous tes rêves s'étaient envolés en un temps record, c'était trop tard pour recoller les morceaux, tu te retrouvas complètement seul dans cet appartement. Entièrement écœuré à l'idée d'avoir eu la force de croire encore un peu en l'amour. Pathétique que tu te disais. Tu te demandais si tu avais encore la force de te donner la mort. Car de toute façon, toi, tu n'avais plus rien à perdre.

C'est ce jour là, le Lundi vingt-neuf Octobre deux mille treize que tu reçus cette lettre.

Connaissez-vous votre don ? Si oui, comment s'est déroulé votre première utilisation + comment le maîtrisez-vous ?
Tu connaissais ton don. Ou alors tu étais presque sur que c'était plus une bénédiction de Dieu qu'un don putain. Toi qui ne croyais pas en cet être suprême depuis l'âge de tes treize ans, tu commençais à te demander si, au final, il existait pas et qu'il savait être cool au bout d'un moment. Tu avais fais quelques mètres sur cette île complètement étrangère à tes yeux. Et il y avait ce bruit, ce bruit de grincement ou je ne sais quoi, tu avais horreur de ce genre de truc, les frottements et les grincements, une horreur pour tes petites oreilles. Dans ta tête, tu priais pour que ce bruit, et, par magie, ce bruit cessa. Tu regardais partout, tu avançais et reculais pour voir si tu pouvais toujours entendre ce bruit ou même un semblant de celui-ci autre part où si il s'était tout simplement affaiblit. Tu te disais que c'était juste un coup du hasard, tu continuais alors ta route en te posant un tas de questions.

Tu avançais d'un pas hésitant près d'un groupe de personnes, des hommes, qui ne t'avaient pas remarqués du tout et tant mieux. Ils ne parlaient pas, ils CRIAIENT. Toi qui ne parle presque pas et qui parle calmement, ça te cassait les oreilles un tel brouhaha. Tu te plaignais dans ta tête et que si ils pouvaient baisser d'un ton, ce serait plus agréable pour toi et ta future migraine. Et ton souhait fut réalité. Et à ce moment là, tu en tiras une tête, les yeux grands ouverts, l'air complètement choqué des faits. Sérieusement ? Tu te demandais qu'est-ce qu'il se passait ici, tu te demandais si tu étais toujours pas sous l'effet de drogue ou juste endormi mais putain c'est impossible pour toi de faire un tel rêve, tu ne rêves pas d'île inconnue toi! Alors après quoi ? Tu te calmas en prenant une  petite pause de dix minutes. Puis par la suite, tu ne demandas qu'à confirmer tes hypothèses. Tu t'amusas à couper chaque bruit que tu pouvais entendre, jusqu'à atteindre le silence totale, pas même le bruit du vent venait t'embêter. Tu devais te dire que c'était pas si nul que ça d'être sourd. Mais c'était beaucoup trop étrange, sentir le vent contre sa peau sans pouvoir l'entendre, savoir que des hommes hurlent à tes côtés sans pouvoir les entendre, une sensation étrange t'entourait. C'était trop étrange pour toi, tu décidas de remettre tout  à la normal avec une simple pensée.

... Pas compliqué à manipuler mais étrange et frustrant.

Que pensez-vous de l'île ? Quel est votre état d'esprit à l'heure actuelle ? Que craignez-vous ?
Tu n'avais pas vraiment d'avis sur cet endroit, en même tu n'avais presque pas visiter cet endroit qui avait tout l'air d'une île. En faite, tu ne savais pas quoi penser.  Pour sure, si  on entrait en ligne de compte cette île dans un catalogue de voyages, beaucoup aurait voulu y passer des vacances. Elle était belle et semblait vraiment paisible au premier coup d’œil, mais il y avait aussi cette sensation d'aventure et de mystères à découvrir. C'est que tu ressentais.

Étrangement, ce n'est pas du tout ton genre et je ne pense pas que tu irais t'embarquer dans ce genre d'affaire même avec cette sensation. Tu n'es pas ce genre de personne qui part à l'aventure. De toute façon tu n'étais pas d'humeur à t'exciter à faire des plans pour aller jouer l'aventurier. Dans ta tête se trouvait un sacré merdier. Tes parents adoptifs t'abandonnent, ton petit ami te trompe et tu décides de casser, tu reçois deux lettres tout droit sorties de nul part avec de la lumière qui jaillissant de nul part et te voilà sur une île avec le pouvoir de faire régner le silence. T'étais perdu, complètement paumé mon pauvre chou. Tu trainais partout en faisant attention de pas te faire attaquer par je ne sais quoi, tu ne savais pas à quoi t'attendre ici. Ta seule motivation était de... de trouver quelqu'un pourrait te donner une simple explication.

Les craintes ? Aucune à part le simple fait que tu ne savais toujours pas où aller pour te loger et que, chez toi, dans ton appartement, ton chaton va crever de faim. Paix à son âme.




Mr. J.
99 ans.
Shemale.
ton avatar, c'est qui ? Sakamaki Ayato de Diaborikku Ravāzu (Diabolik Lovers).
t'as lu le règlement? Ouep.
tu as trouvé notre petit code? ♥ CODE VALIDE
t'en penses quoi du fo'? Il est cool bro.
au fait, t'es arrivé comment jusqu'ici ? Grâce à Andrew B. Wayne



Dernière édition par Kilian Vantas le Ven 1 Nov - 16:38, édité 10 fois
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Kera Waywarddawn

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MessageSujet: Re: ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%]   ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%] Icon_minitimeMer 30 Oct - 13:13

Bienvenue sur Phenomenon ! Je te souhaite bon courage pour ta fiche ainsi que pour ta validation, tout en espérant que tu t'y plaira. =D
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MessageSujet: Re: ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%]   ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%] Icon_minitimeVen 1 Nov - 15:46

Merci beaucoup!
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MessageSujet: Re: ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%]   ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%] Icon_minitimeVen 1 Nov - 17:15


welcome, welcome.
Nous espérons que tu feras honneur à ton groupe, les Aqua.


Tu es bien arrivé à destination, Kilian Vantas.
Nous te souhaitons un agréable séjour à Ériel, en espérant, bien entendu, que tu survives.

Tu trouveras dans ton sac cette belle amulette qui te servira, dans quelque temps.
Pour te remercier d'avoir suivi nos indications, nous t'offrons généreusement une Paumme.

Malheureusement, à ton arrivée, tu as subi quelques... "Modifications."
Tout ce qui est sucré, devient salé en ta bouche.

le temps joue en ta défaveur, désormais.


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MessageSujet: Re: ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%]   ▬ Kilian VɅNTɅS. ‹ C'est pas qu'je crois en rien, j'crois plus tout court ça me convient. › G. Poubelle [100%] Icon_minitime

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